Une histoire touchante de Bakar: les aquifères de cuivre pauvres et aveugles n'ont pas encore été remboursés

Quelle est l'histoire la plus célèbre du passé de Bakar?

Frankopani, Maria Theresa, capitaines et armateurs, ou peut-être celui d'Ivan Čop, un aqueduc de cuivre pauvre et aveugle qui devait sa ville plus que tout ce qui précède?

La promenade d'interprétation "Bakar na vrhu" sur notre "Promenade à travers l'histoire" a apporté de nombreuses histoires célèbres, mais elle s'est terminée par l'interprétation de la directrice de l'Office du tourisme de la ville de Bakar Sonja Jelušić Marić.

Lisez et écoutez pourquoi!

Ivan Čop est né en 1869 à Bakar. En tant que petit garçon, il avait des problèmes de vision et s'est rapidement perdu complètement sans cela. Mais en même temps, il n'a pas perdu son esprit, son courage et son désir d'indépendance. La cécité ne l'a pas empêché d'explorer les rues de Bakar et les forêts environnantes avec l'aide de sa jeune sœur Josip, et assoiffé de connaissances, il s'est assis au fond du bureau de l'école et a absorbé tout ce qu'il pouvait entendre.

Après la mort de son père, des temps difficiles arrivent. Voulant prendre soin de sa mère et de sa sœur, il est devenu, malgré le handicap, un aquifère de cuivre, Ivan l'Aveugle comme l'appelaient les flics. Portant sur son épaule un bateau pesant environ 25 kg dans toutes les conditions météorologiques, il surmonte l'ascension vers des maisons nobles où il transporte de l'eau car il n'y avait pas d'eau à l'époque. Il gagne chaque centime et rêve de reconstruire sa vieille maison délabrée.

Après le mariage de sa sœur et la mort de sa mère, il est complètement seul. Grand amateur et connaisseur des oiseaux, il les chasse et les vend, et garde les plus beaux pour lui ou les présente à des amis. Pour gagner plus d'argent, il a même étiré le soufflet de l'orgue de l'église, élevant et vendant des porcs et des poulets, luttant pour survivre.

La vie difficile, la maison délabrée et la nourriture sèche dans laquelle il vivait ont fait des ravages. Un Verseau aveugle est mort d'une rupture d'un ulcère à l'estomac à 47 ans, et sur une étagère de sa maison, des tas de cailloux, des morceaux de verre et de porcelaine ont été trouvés. Toutes ces piles marquaient les dettes des familles individuelles pour l'eau - les pierres représentaient des unités monétaires plus petites, le verre de la couronne et les morceaux de forints de porcelaine. Les Coppers devaient tellement d'argent à leur aquifère aveugle qu'il pouvait reconstruire son chalet, et même plus que cela, ils lui devaient de l'aide en tant que résident handicapé et extrêmement précieux de la ville.

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C'est l'un des moyens de rembourser cette dette, et il y en aura plus car l'histoire de l'aquifère aveugle de cuivre doit être vécue comme l'histoire la plus importante de la ville qui a également été accueillie par une sorte de handicap envers les autres dû à l'industrie. et pour lequel, tout comme Ivan Cop, le dicton d'A. de Saint-Exupéry est valable - seul le cœur peut bien voir, l'essentiel est invisible aux yeux!

C'était un humble aquifère qui devait son travail aux générations d'alors des habitants de la ville de Bakar. Il fallait s'attendre à ce que Bakrani lui remboursât tout ce qu'il avait fait pour sa ville et ses concitoyens. L'aquifère de Hambourg Hummel et l'aquifère d'Athènes sont entrés dans l'histoire au moment des premiers Jeux olympiques renouvelés en 1896, et leur souvenir se perpétue dans de nombreux souvenirs qui leur rappellent, que les touristes aiment acheter avec l'histoire occasionnelle de l'aquifère. Les habitants de Bakar n'ont pas encore remboursé leur aquifère et on ne sait pas quand cela se produira.  

Si vous voulez entendre plus d'histoires et emprunter de l'eau, visitez Bakar… et faites passer cette histoire.

Source et photo : TZ Bakar
Vidéo: Daniela Forempoher